19 mai 2007

Produit anti-cafard

Un de mes lecteurs qui me laisse toujours des commentaires (merci) me parle des cafards qui apparaissent déjà (horreur, horreur, horreur).
Ici je n'en vois jamais (sauf quelques volants) alors qu'en Espagne j'en avais tout le temps.
J'ai une question (je n'ai pas trouvé le mail de Pablo) : vu que je connais ici un produit efficace préventif, est-ce que je l'amène en Espagne dans le déménagement? Ou est-ce qu'il y a des produits efficaces là-bas?
(Ceux qui trouvent ma question vraiment triviale n'ont jamais trouvé de cafard dans leur évier au saut du lit; et en plus avant j'étais une femme bien je faisais ma vaisselle le soir; maintenant je ne la fait plus, je la fais le matin; alors le matin, réveil, évier, vaisselle, main dans la vaisselle, toucher cafard planqué dedans, rien que d'y penser j'en frissonne et j'ai le vertige).
Question : les cafards africains seraient-ils moins virulents que les cafards hispano-méditerranéens? Je dis ça parce que le pays est crade, franchement, mais je n'ai pas vu en sept ans autant de cafards qu'en deux ans d'Espagne.
D'un autre côté j'habite au deuxième étage; en Espagne j'avais une maison. Et là on a trouvé un appart (au sixième).
Un jour, en fermant mes volets, j'ai vu un cafard sur le mur, de profil. Vous savez à quoi ça ressemble? Aux extraterrestres dans "Indépendance Day" (en plus petit).
La seule amélioration c'est que je crois que je pourrais maintenant toucher et écraser un cafard avec un balai; avant je ne pouvais pas, même avec un balai. Je restais juste tétanisée, hystérique et ridicule. Mes enfants, grands lecteurs de Super Picsou Géant, m'ont jeté pleins de cafard en plastique dessus (fournis par le journal, ou un autre de la même gamme) ... (sans commentaires).

4 commentaires:

Anonyme a dit…

En fait, je ne sais pas si aux Hespérides (où je ne suis jamais allé) il existe des cafards (sans doute oui, je le crains) ou au moins s'ils sont de la même espèce que ceux que vous avez rencontrés (quel mot) dans l'Hispania péninsulaire (à la capitale du royaume si j'ai bien compris). En tout cas, je n'en ai plus vu chez moi depuis que j'habite dans un immeuble relativement neuf (il a été construit il y a une quinzaine d'années au maximum) qui, en plus, est périodiquement traité dans ses zones communes (cour d'entrée, escaliers, garage, etc.) par des professionnels (avec leurs insecticides industriels). Donc, il y a quelques années que je n'ai plus besoin d'utiliser de produits anticafard (qui m'ont toujours paru d'une efficacité relative : c'est dû sans doute au pouvoir d'adaptation de ces bêtes). Oui, je vous conseillerais que vous apportiez les produits de là-bas si vous le pouvez, même si peut-être (Inch'Allah —smiley—) vous n'aurez jamais l'occasion de vous en servir : malgré les arsenaux que vous trouverez sans doute sur place, il ne faut jamais négliger le pouvoir militaire de l'adversaire.

Moi aussi j'avais à une époque une horreur atavique des cafards : maintenant ça va, je peux m'amuser à en écraser un de temps en temps dans la rue, sans état d'âme, sans haine : comme (vague) prophylaxie.

C'est vrai, j'aurais dû mettre mon adresse mail (levez-en tous les espaces) quelque part, pour ne pas avoir à rougir lorsque vous m'interpellez directement sur vos posts (j'exagère).

J'espère que votre jambe va mieux.

Anonyme a dit…

Dans le commentaire précédent, mon adresse mail a été enregistrée d'une façon bizarre. De toute façon, si jamais vous avez besoin de m'envoyer un message, vous pouvez le faire en cliquant sur licône de l'enveloppe tout en bas de mon blog (le lien que je viens de mettre devrait marcher aussi ; en tout cas, j'y ajouterai une adresse mail un de ces jours).

Anonyme a dit…

Non je n'ai pas habité à la capitale, mais à vingt kilomètres d'une ville fondée, amusante coincidence, par un prince originaire d'une ville située à 150 km de mon lieu de résidence actuel (pour deux mois encore!).
Lequel prince, bien que brassé ethnique assurément, était lui-même issu d'un peuple de commerçant de l'Est de la Méditerranée.
Pas de noms propres.

Anonyme a dit…

Ah, d'accord : vous parliez du bruit de la fête de la San Isidro et cela m'a dérouté. (Je dis "ah d'accord", mais comme je suis moins doué que vos élèves —c'est dire— il me faudra un peu de temps avant de trouver d'où vous parlez exactement). Non, pas de noms propres, pour cela on a le Robert.